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La nature meurt et moi aussi
notre mère la terre souffre
L’eau est meurtrière
Les pluicides brulent notre chaircorps
La motricicanique de l’air est allergique
La terre résonnactionne
Manque simplement le feu
Pour compléter ce bal fatalinal
Les éléments, les créateurs
Nous ont trop choyés
Quand c’est acquisitionné on a tendance a oublier
Nos dieux présent, la force de leur pouvoir sur l’histoire
La force la plus puissante visible
CHANGER, HUMATIONNISER, CONSCIENTISER, Éduquer
Une révolution c’est l’extension de l’évolution
Air TERRE EAU FEU
C’est eux les dieux
Ce module calculé, mathématiquer à tout planifié
Prosternez, Implorez, Pleurez et Adulez
Ce qui vous a crée
De l’étoilune nous sommes nés
L’humanité n’a jamais constater
Tout est écrivolu
Tout rotationne
Vos paumes sont empruntées
Vos tracés sont marqués
Étampé et marqué sur le bout de vos doigtés
Dans ses tracés
L’engrenage ne peut arrèter
il faut revertébré
Nous pouvons la ralentroller
La déchimisation du poisonixité
La destructionnassive de la parasymanitée
À pas de géants, avarant
Combler par le vice du règne humanimal
Aveugler prenant pour acquis
s’enfonçant vers la rotaion vicérale finexterminal
Le récitatif doit conclusionner fatalement
C’est la sacrifice des mal baisés
Le sacrifice de l’humanité
Le sacrifice de la botelligence
C’EST LE SACRIFICE DES POULETS
La leucémie de Valérie ver 0.1
( lettre écrite pour envoyer messages )
Une péripétie tragique
Péripétie digne d’une fable des bois
Souvenir lointain d’une cousine magique
Le destin n’aurait pas du avoir droit
De pouvoir conclusionner sous la croix
Il n’aurait pas du acquérir le droit
Cette destinée fût antipathique
Souvenir jeunôt d’une ronde près des bois
Souvenir d’un combat féérique
Vivante, étincellante, arrivée de l’autre côté
Tes proches hurlerons ma chère
Ils ne pourront comprendre la proximitée
Chaque levé de lumière
Noyé de leur larmes amères
Ils penseront à toi chère compère
Ils ne peuvent sentir la fébrilité
Du côté nébuleux , plus besoin, Valérie, de chair
Un côté invertébré plus besoin Valérie de se reposer
Ta traversé chère cousine éloignée
La fin pour toi de notre univers humationniser
La mort rend dépressif
Est-ce par ennui ou par égoïsme
Une ligne si mince entre deux miroirs
Faut-il le croire, un jour peut-être on va se revoir
Faut-il le croire cette question, dérisoire
Pourquoi ma neurocomplexitée me laisse si passif
Pourtant ma pensé , si aggressif
La logique a fuit ta nortoriété
C’est la loi pré calculée